Solidarité Haïti: les chevrettes sont née!
Opération des chèvres pour Chavanette:
Le projet de troupeau communautaire et solidaire a bien démarré puisque les familles bénéficiaires ont reçu leurs chèvres, les mises bas ont commencé et les familles qui doivent recevoir les chevrettes attendent impatiemment leur tour. EN effet dans ce projet les bénéficiaires s'engagent à remettre les deux premières chevrettes à une nouvelle famille qui entre alors dans le projet.
Le denier du culte pour faire vivre notre Église
La campagne 2021 de collecte du denier vient de démarrer, mais au fait, qu’est-ce que le denier ? Est-il un don comme les autres ?
Les Actes des Apôtres nous rapportent que les premiers chrétiens mettaient tout en commun et partageaient tout selon les besoins de chacun (Ac 2, 42-47). C’est dans cette perspective que s’inscrit aujourd’hui le denier de l’Eglise.
Il est un don financier, certes, mais sa portée est plus profonde. Il donne à celui qui y participe le sentiment d’appartenir à une communauté. Elle peut ainsi grandir et poursuivre sa mission. Le denier est donc un geste spirituel. Il manifeste la responsabilité qui revient à chaque baptisé de soutenir la communauté chrétienne à laquelle il a décidé librement d’appartenir. Chaque don, même le plus modeste, à l’exemple de celui de la pauvre veuve dont parle l’Evangile qui donne deux petites pièces (cf. Mc 12, 41-44), est une manière de le faire.
Le denier est donc un geste qui manifeste concrètement le désir de soutenir la vie de l’Eglise de notre diocèse. Sa valeur spirituelle consiste dans la liberté du don. Il donne aux prêtres et aux laïcs engagés dans la mission ce qui est nécessaire pour leur vie et leur permet ainsi d’annoncer librement l’Evangile.
D’avance, merci ! Bonne entrée en Carême à tous et à toutes !
Étienne de Joigny -Économe diocésain
Les Actes des Apôtres nous rapportent que les premiers chrétiens mettaient tout en commun et partageaient tout selon les besoins de chacun (Ac 2, 42-47). C’est dans cette perspective que s’inscrit aujourd’hui le denier de l’Eglise.
Il est un don financier, certes, mais sa portée est plus profonde. Il donne à celui qui y participe le sentiment d’appartenir à une communauté. Elle peut ainsi grandir et poursuivre sa mission. Le denier est donc un geste spirituel. Il manifeste la responsabilité qui revient à chaque baptisé de soutenir la communauté chrétienne à laquelle il a décidé librement d’appartenir. Chaque don, même le plus modeste, à l’exemple de celui de la pauvre veuve dont parle l’Evangile qui donne deux petites pièces (cf. Mc 12, 41-44), est une manière de le faire.
Le denier est donc un geste qui manifeste concrètement le désir de soutenir la vie de l’Eglise de notre diocèse. Sa valeur spirituelle consiste dans la liberté du don. Il donne aux prêtres et aux laïcs engagés dans la mission ce qui est nécessaire pour leur vie et leur permet ainsi d’annoncer librement l’Evangile.
D’avance, merci ! Bonne entrée en Carême à tous et à toutes !
Étienne de Joigny -Économe diocésain